Richissime génie de l’informatique, Hannon Fuller est parvenu à recréer à l’aide d’ordinateurs ultrasophistiqués l’univers des années 30, dans lequel il peut se projeter. Au cours de l’un de ses voyages virtuels, il fait une découverte aussi fascinante qu’effrayante dont il cherche à faire part à son associé, Douglas Hall…

« Les images sont comme de vrais tableaux ; non seulement leur précision est stupéfiante, mais l’utilisation de la lumière et des couleurs recrée bien davantage qu’un lieu : une ambiance, une époque entière, à la manière du peintre Edward Hopper. (…)
Tout ceci étant dit, un film comme celui-ci, dans un genre tellement exploité, marquera sa différence parce qu’il dit quelque chose de fort sur la relation entre la ‘vraie réalité’ – quelle qu’elle puisse être – et la ‘réalité virtuelle’, ou dans ce cas, les réalités virtuelles.
Il faut laisser au spectateur le plaisir de découvrir la fin et la seconde lecture que livre finalement Passé virtuel. Il ne faut rien révéler… On peut simplement affirmer qu’il parvient à boucler la boucle sur les plans thématique, dramatique, et enfin par extension, technique. »
Norman Spinrad

JOSEF RUSNAK

INTERPRÈTES : Craig Bierko, Amin Mueller-Stahl, Gretchen Mol, Vincent D’Onofrio, Dennis Haysbert…
SCÉNARIO : Ravel Centeno-Rodrighez et Josef Rusnak, d’après le roman Simulacron 3 de Daniel F. Galouye
IMAGE : Wedigo von Schultzendorff

MUSIQUE : Harald Kloser
MONTAGE : Henry Richardson
PRODUCTION : Centropolis Entertainment, Columbia Pictures
COPIE : Num.