Rencontre avec l’auteur de “Alma a adoré” (Psychose en héritage), le grand classique d’Alfred Hitchcock sous le regard de Sébastien Rongier
Jeudi 19 décembre à 19h30
A l’occasion de la sortie du dernier essai de Sébastien Rongier : Alma a adoré (Psychose en héritage), La cinémathèque ne résiste pas au plaisir de projeter Psychose.
L’auteur présentera sa vision personnelle du chef d’oeuvre d’Hitchcock qui commence et s’achève… à Perpignan, au Musée Hyacinthe Rigaud…
Saviez-vous qu’un des pivot symbolique du film se trouve être une oeuvre exposée au Musée Rigaud ? Saviez-vous que cette œuvre a mystérieusement disparue en 1972 ?
Le livre :
Alama a adoré (Psychose en héritage), Sébastien Rongier, novembre 2019
C’est sans doute la scène la plus célèbre de toute l’histoire du cinéma, la fameuse « scène de la douche » de Psychose ; son influence est telle que ne cessent de se multiplier les hommages, de Brian De Palma à Francis Ford Coppola, de Gus Van Sant à David Fincher, des séries Bates Motel aux oeuvres d’artistes contemporains tels Douglas Gordon, Pierre Huyghe, Cindy Sherman. Le phénomène est décortiqué, sous toutes ses coutures, par Sébastien Rongier dans Alma a adoré, où il met en lumière l’importance du film d’Alfred Hitchcock, en faisant appel aux réflexions de penseurs tels qu’Emmanuel Kant ou Roland Barthes, tout est en démontrant la primauté de ce véritable emblème de la Pop Culture, un pur « effet cinéma ». Par ailleurs, ce texte, traversant les prolongements littéraires et cinématographiques du film, développe une vision très personnelle de cette oeuvre, l’auteur étant l’une des premières victimes de cet « Effet Psycho ».
Rencontre et signature en partenariat avec la Librairie Torcatis, suivie de la projection :
Psychose
Alfred HITCHCOCK, USA, 1960, 1h49 (Num.)
Int.: A. Perkins, Janet Leigh, Vera Miles…
Une jeune femme disparaît. Son fiancé et sa sœur partent à sa recherche, ainsi qu’un détective privé…
LA référence absolue pour les films mettant en scène des psychopathes. Un scénario d’une habileté machiavélique, des scènes cultes, un double décor juxtaposant un banal motel et une inquiétante vieille demeure, un grande performance d’acteur d’Anthony Perkins, une musique expressive de Bernard Herrmann… Un chef-d’œuvre !
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