Jean A. GILI
Institut Jean Vigo ⎜320 pages (21/14) ⎜20 pages d’illustrations ⎜4e trimestre 1990 ⎜22,87 €
Dès 1922 à 1945, le cinéma italien a vécu à l’ombre des faisceaux. Au cours de plus de deux décennies, les transformations ont été nombreuses : elles ont fait passer le cinéma des derniers éclats du muet aux prémisses du néo-réalisme. Sur fond de comédies brillantes et de drames sentimentaux, le cinéma italien vivait une étrange saison. En apparence, tout était dédié au divertissement, à l’évasion, à ce cinéma des “téléphones blancs” dont Cinecittà, inauguré en 1937, représentait la quintessence…