Le pays où rêvent les fourmis vertes

Le pays dont il s’agit est un territoire australien sur lequel cohabitent aborigènes et blancs, une douloureuse cohabitation. Une société d’exploitation minière a décidé de prospecter le territoire en question qui, pour les aborigènes, est avant tout le lieu d’accueil des fourmis vertes, lesquelles, selon leurs croyances, sont à l’origine de leur vie sur ces terres.

The rover

Après l’effondrement de l’économie occidentale, l’Australie est devenue un véritable Far west où règne la loi du plus fort. Désespérée, la population est prête à tout pour survivre, même à tuer.

Le grand paysage d’alexis droeven

Le Pays de Herve, dans l’est de la Belgique, à proximité des Fourons, commune disputée au plan linguistique. Des paysans y travaillent, y produisant un espace aux limites indécises les jours de brume.

Le souffle

En pleine steppe, Dina et Tolgat, son père fermier, vivent en harmonie avec la nature. Quand celui-ci part au travail, elle s’occupe de la maison et s’évade en faisant des livres de collages. Kaisyn, un fils d’éleveur de chevaux et Max, un jeune Russe malicieux aux cheveux roux, sont amoureux d’elle. Celle-ci ne parvient pas à choisir entre ces deux garçons car elle les aime tous les deux.

Le désert des Tartares

Le désert des Tartares, roman de Dino Buzzati, date de 1958, mais ce n’est qu’en 1976, grâce à l’obstination de Jacques Perrin qui en avait acquis les droits et qui l’a produit, que le film est enfin sorti.

Jauja

Patagonie, 1882. Le capitaine Gunnar Dinesen, arrivé du Danemark avec sa fille de quinze ans, occupe un poste d’ingénieur dans l’armée argentine, durant la prétendue « Conquête du désert », une campagne génocidaire contre la population indigène de la région...

Comancheria

Au Texas, alors que leur mère vient de mourir, Toby et Tanner, deux frères, s’improvisent braqueurs de banques. Toby, divorcé, veut en effet obtenir de l’argent afin d’éviter la saisie de la propriété familiale. Tanner, expert en armes au fort tempérament, l’assiste dans sa tâche.

La prisonnière du désert

Près de vingt ans après La chevauchée fantastique, John Ford investit à nouveau les espaces gigantesques de Monument Valley dans l’Utah pour La prisonnière du désert, réalisé en 1956, qui constitue la pierre angulaire du western dit « crépusculaire ».

Le pays où rêvent les fourmis vertes

Le pays dont il s’agit est un territoire australien sur lequel cohabitent aborigènes et blancs, une douloureuse cohabitation. Une société d’exploitation minière a décidé de prospecter le territoire en question qui, pour les aborigènes, est avant tout le lieu d’accueil des fourmis vertes...

La ruée vers l’or

La Ruée vers l’or est l’un des films majeurs de Charlie Chaplin, pour certains son chef d’oeuvre. Ce qui est sûr c’est qu’il a mis pour ce film des moyens considérables pour en tourner une partie en extérieurs.

Le chien jaune de mongolie

Nansa, une fillette de six ans, rentre de la ville où elle va à l’école pour rejoindre sa famille, des nomades de Mongolie vivant de l’élevage de moutons. Autour de leur yourte rôdent parfois des loups qui tuent des bêtes.

Avatar (3D)

Jake Sully, un ancien marine immobilisé dans un fauteuil roulant, est engagé pour se rendre sur la planète Pandora où est exploité un minerai énergétique rarissime...

Gerry

Film aux frontières de l’expérimental, Gerry narre une errance aussi spectaculaire que spéculaire, comme viennent le rappeler les accords de Spiegel im Spiegel du compositeur de musique contemporaine Arvo Pärt à l’oreille du spectateur transi.

Jupiter, le destin de l’univers

Au-delà de la Terre, au-delà du Soleil, une famille règne depuis des millénaires sur toutes les planètes habitées de l’univers : la Maison d’Abrasax. Après la mort de la chef de famille, ses trois héritiers, Balem, Titus et Kalique, se disputent le pouvoir avec acharnement, menant une guerre sans relâche.

La chevauchée fantastique

Immémorial et intemporel, La chevauchée fantastique, quintessence du western classique sublimé par ses décors naturels, est d’une richesse inépuisable pour les exégètes de cinéma, qu’ils soient amateurs du genre ou non.

Point limite zero

Vanishing point raconte l’histoire de Kowalski, qui s’est lancé un pari fou : relier en quinze heures Denver (dans le Colorado) à San Francisco (en Californie), soit un peu plus de 2 000 kilomètres sur les routes cabossées et poussiéreuses de l’époque. Une chevauchée fantastique à travers les déserts américains.

Le frère du guerrier

Les grands espaces jouent un rôle déterminant dans ce film. Ils sont ici représentés par la Lozère, plus précisément le Causse au-dessus de Sainte Enimie, un des seuls endroits de France, dit Pierre Jolivet, où le regard peut se porter à 360° sans rencontrer un pylône, une maison, un château d’eau.

La peau de bax

Une belle journée commence pour Schneider. Ses deux adorables fillettes le réveillent pour lui souhaiter son anniversaire. Mais un coup de téléphone vient tout gâcher : il doit partir au boulot — « une urgence », assure-t-il à son épouse… qui ignore que son mari gagne sa vie comme tueur à gages.

Blackthorn

Butch Cassidy n’est pas mort, abattu par les policiers boliviens, en 1908. Il vit depuis une vingtaine d’années en Bolivie, sous le pseudonyme, à la fois agreste et agressif, de John Blackthorn.

Gravité zéro

L’espace interplanétaire ou intersidéral voire intergalactique, est la donnée centrale de la représentation d’une catégorie de films de science-fiction dénommée, avec emphase, Space opéra.

Urga

Gombo, un jeune éleveur, vit avec sa famille dans une yourte perdue dans l’immensité des steppes de Mongolie. Sa femme, Pagma, lui conseille de se rendre à la ville la plus proche pour acheter des préservatifs car elle ne souhaite pas avoir un quatrième enfant.

Les chemins de la liberté

Après Master and Commander, avec l’océan comme grand espace changeant, Peter Weir tourne Les chemins de la liberté, un autre périple au long cours, terrestre celui-là, au travers de paysages extrêmement différents, façonnés par la géologie, le climat ou l’activité humaine.

Walkabout (la randonnée)

Nicolas Roeg qui sut nous passionner jadis en nous faisant découvrir – en Technicolor ! – une Venise hivernale et inquiétante, a tout aussi bien filmé deux ans auparavant, le « bush » australien où s’égarent, afin d’échapper à une terrible agression, une adolescente et son tout jeune frère.